OPEN SCREEN CLUB AU MAJESTIC BASTILLE

OPEN SCREEN CLUB AU MAJESTIC BASTILLE

Dulac Cinémas a le plaisir de se joindre au magnifique projet Open Screen Club proposé par les Cinémas Indépendants Parisiens !
Rendez-vous le 3 octobre à 20h au Majestic Bastille.

Comme un open mic mais pour les films, ce club est donc ouvert à tout réalisateur·ices, amateur·ices ou profesionnel·les, d’œuvres de moins de huit minutes. L’Open Screen Club proposera un écran à la jeune création et permettra aux publics de découvrir des œuvres, d’échanger et de se rencontrer autour d’un verre en salle ou dans un bar limitrophe.

Les deux célèbres animatrices homonymes, Les Clara, seront de retour accompagnées d’une
nouvelle animatrice surprise et présenterons toutes les soirées avec l’humour, l’intelligence et la
bienveillance qui les caractérisent.

5€ la séance, vive la curiosité !

Le programme de la soirée :

ABSENCE de Yann Guyot
Dans une atmosphère vaporeuse et onirique, une jeune femme, emprisonnée dans le souvenir d’un amour fini, se remémore certains instants de cette idylle. Par la force des choses, un miracle se produit dans la douleur et elle finit par se libérer de cette relation.

MES ACTRICES de Anna Mezencev
Isa et Fanfan sont deux comédiennes, ni vraiment de cinéma, ni complètement de télévision, mais de "tout le reste"! Arrivées à la cinquantaine, ou la "pire période" pour décrocher des rôles, ce duo haut en couleurs rencontre, le temps d'une soirée, "la nouvelle génération".

PARASOMNIE de Arnaud Duin
Un soir d'été, une jeune femme s'extirpe brutalement de son sommeil. Ses cauchemars s'intensifient de jour en jour et l'emmènent dans une transe hypnotique. S'en sortira-t-elle ?

SLOW - EPISODE 1-2-6 de Elisabeth Renault-Geslin
Filmer l'inutile peut-il se rendre utile ? L'ennui est-il productif ?

ZONE BLANCHE de Apolline Bezançon et Leonora Schlünz
Une jeune femme, Leïla, vit dans une société dystopique, gouvernée par un régime totalitaire. Ce dernier interdit toute forme de liberté d’expression - jusqu’à la parole-même - et surveille ses habitants, par des caméras et des micros implantés dans les rues et les foyers. Amalia s’installe dans la chambre voisine de Leïla et lui fait découvrir par un stratagème l’existence d’un lieu secret souterrain, dans lequel la parole est libérée, car il s’agit du seul endroit invisible aux réseaux de surveillance. Lors d’une relève de la garde, Leïla parvient à s’y rendre. Là-bas, elle découvre des livres, de la musique, de la danse - le monde de l’art va alors réveiller sa conscience humaine, jusque là enfouie sous son mode de vie automatisé.